Un papier passionnant, à tous égards, qui recense de 1970 à 2009 l’évolution du revenu de la production musicale, cinématographique, littéraire, radiophonique, bref, de la production des médias au sens large, et la rapporte systématiquement, grâce à moult graphiques fort bien conçus, au chiffre du PIB mondial. En d’autres termes, il s’agit du meilleur argument s’agissant de montrer en quel état l’incurie des industriels de la culture les a menés, faute de parvenir à abdiquer leur arrogance légendaire… C’est en anglais, désolé, mais, décidément, un bon dessin vaut mieux qu’un long papier
Et je m’en voudrais d’oublier Philippe qui, en l’espèce, me semble résumer au plus près de l’os la réalité de cette affaire, and the stakes as they’re really are…